Établissement Ozanam de Limoges : l'État mis en cause

Cet homme, ancien membre du collectif des victimes d'Ozanam, reproche notamment à l'État « une absence de contrôle » de ces deux établissements catholiques à l'époque des faits reprochés, devenus prescrits à ce jour.

Après un premier échec sur le plan pénal, en raison des délais de prescription, cet ancien élève mise sur la justice administrative pour reconnaître des « erreurs » de l'État à cette période.

« Je n'ai demandé aucune indemnisation financière. Je veux juste qu'une proposition de loi soit faite pour étendre les délais de prescription », a-t-il expliqué au Populaire du Centre.

La Croix

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