Père Eugeniusz Plater-Syberg : la face sombre du héros polonais qui réside en France

Le père Eugeniusz Plater-Syberg a été régulièrement célébré comme un héros par la Pologne. Dans les années 1980, pendant la loi martiale et en tant que plénipotentiaire de la Conférence épiscopale polonaise pour l'aide caritative, il a créé plus de 360 ​​comités en France, apportant une aide financière et matérielle aux Polonais et à la résistance polonaise. Il a collaboré avec les structures Solidarność, notamment le Bureau Solidarność de Paris 🡵. Par son action, il a permis envoyer plusieurs centaines de tonnes d'aide en Pologne 🡵.

A ce titre, il a été décoré à plusieurs reprises :

  • 2011 Médaille de la gratitude, créée par le Centre européen de solidarité 🡵 🡵
  • 2018 Distinction spéciale de l'ambassadeur de Pologne dans le cadre du concours « Polonais exceptionnel en France » 🡵
  • 2023 Médaille « Pro Polonia et Ecclesia », décernée par la Conférence épiscopale polonaise en reconnaissance de leur contribution à la pastorale des immigrés polonais 🡵.

Mais aujourd'hui, c'est son passé comme enseignant et éducateur au petit séminaire polonais de Paris qui refait surface 🡵. Là, il aurait violé et drogué des enfants 🡵.

Par la suite, il est resté de nombreuses années sur la paroisse de Saint-Valérien (diocèse de Sens-Auxerre) où il a poursuivi une activité caritative au service des immigrés africains. En 2014, à l'aube de sa retraite, le père Plater avait d'ailleurs demandé à Monseigneur Patenôtre de le libérer de sa charge de curé mais de lui laisser le presbytère afin qu'il puisse continuer à recevoir tous « ses enfants africains » 🡵.

A leur arrivée à l'école, le prêtre faisait chaque soir sa tournée des chambres des enfants, passant la main sous les couvertures pour palper leurs parties génitales ; il expliquait qu'il vérifiait s'ils mouillaient leur lit. Puis, certains garçons se mirent à faire pipi au lit, car il leur faisait subir des choses encore pires.

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Eugeniusz Plater était l'instituteur des plus jeunes. Sa chambre était située en face des chambres des enfants, dans le couloir. Plater était également médecin de l'école, bien qu'il n'en fût pas médecin. Près de sa chambre se trouvait l'infirmerie. Là, il convoquait les garçons et les installait sur le lit. Ce n'est que des années plus tard que les élèves découvrirent, à leur grande surprise, qu'on pouvait aussi mesurer la température corporelle sous l'aisselle, et pas seulement dans le rectum. Ou même dans les parties génitales, où Plater mesurait la fièvre avec sa main.

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Pendant des décennies, il avait tenté d'effacer cette école de sa mémoire. Par exemple, ces objets verts et oblongs qu'utilisait le père Plater. C'était habituel dans ces cas-là : une infirmerie et le prétexte de soigner des maladies mystérieuses. Mais au bout d'un moment, Plater commença à utiliser un dispositif vert, semblable à un plug anal, au lieu d'un doigt, qui écartait l'anus de l'enfant, comme si le prêtre le préparait à la suite. Tadeusz essayait aussi d'oublier les « examens » à deux : Plater emmenait deux garçons chez lui, leur faisait retirer leurs sous-vêtements, en mettait un sur un genou, l'autre sur l'autre, puis les battait, les faisant souvent saigner. Après cela, M. Hyde se transformait en Dr Jekyll, les serrant dans ses bras et les réconfortant. Il l'embrassa sur le front et lui conseilla de laver son visage de ses larmes.

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Certains, des élus, il les a drogués. Ils ne savent pas quoi. Peut-être du Valium ? Ils se sont réveillés dans leur lit, sans pantalon, endoloris.

Polityca (traduction : google translate)

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