Saint-Pé-de-Bigorre : les premiers témoignages

« Il y avait beaucoup d’alcool chez les surveillants. L’un d’entre eux, quand il avait « trois grammes » dans le sang, il devenait un cogneur, souvent sur des têtes qui ne lui revenaient pas », raconte François, qui a fait son lycée entre 1984 et 1987 à Saint-Pé-de-Bigorre. Il se souvient aussi des rumeurs sur des sévices sexuels, notamment « d’un surveillant qui payait les élèves de 6e ou 5e pour qu’ils le mordent. On trouvait ça malsain mais personne n’en parlait ».

France Bleu