Agir, la meilleure facon de résister au trauma

Nous en sommes donc là. Demander un travail colossal à des groupes après le rapport de la Ciase et puis dire à ceux qui ont véritablement travaillé que tout cela est très important, sans que des actions concrètes se dessinent, car « c’est très compliqué », peut générer une grande lassitude et un vrai désespoir. La politique, y compris dans l’Église, devrait donner un cap et mettre en mouvement ceux qui en ont le désir, ne pas se « planquer », en somme.